13 novembre, 2010

"Refuse les yeux ouverts ce que d'autres acceptent les yeux fermés"

Une semaine qui s'est écoulée depuis mon dernier article. Je me lance donc dans le suivant pour votre bon plaisir. Ma chère môman m'a dit que beaucoup de mes lecteurs (ami(e)s de cette dernière) sont devenus addicts à mes articles et qu'ils peinent presque à attendre le prochain chaque semaine. Je tiens d'abord à vous dire à tous que me sens très touchée (non non sincèrement) de vos commentaires mais aussi des dires de ma mère comme quoi, mon style a l'air de beaucoup plaire. C'est également un bonheur pour moi de vous écrire mes aventures (surtout qu'en ce moment je bat tous les records) et je suis d'autant plus heureuse que mes écrits sont plaisants à lire. Voilà donc que je termine ce petit paragraphe pour vous remercier tous de votre fidèle lecture et vous fais part de mes nouvelles expériences toujours aussi étranges qu'intenses.

Pour faire ordonné, on va partir de maintenant au moment où je vous écris. Je suis rentrée il y a quelques heures de l'hôpital. Comme je l'imagine certains ont pu voir via le facebook de ma mère que je suis malade. Pour commencer du début, la nuit dernière: celle de mercredi à jeudi j'ai été prise de violents vomissements et de douleurs gastriques épouvantables. Après une nuit blanche cauchemardesque, une des volontaires de Nataté et moi avons pris la décision d'appeler un des responsables de l'organisme pour qu'il nous emmène à l'hôpital. Parce qu'ils nous semblait difficile de trouver un taxi à 5h du matin à San Cristobal pour aller dans un hôpital qu'on ne connaissait même pas. Préalablement, Alexandra (ma copine volontaire) a tenté d'appeler son grand-père, ancien médecin militaire et très doué pour donner des diagnostiques via skype. Ses deux grands-parents étant injoignables on a tenté ces parents qui nous ont appris eux que les grands-parents étaient partis bien loin en Afrique du Sud. En effet, on aurait pu continuer longtemps comme ça.
Parties pour joindre nos familles en France via skype (de toute façon on avait pas d'autres options) j'ai appelé ma mère sur son portable entre deux vomis. Certes son enthousiasme débordant à l'idée de m'entendre au téléphone était quelque peu décalé par rapport à ma voix de mort-vivante qui lui demandait avec tremblement et presque les larmes aux yeux de me donner le numéro de notre médecin de famille. Loin de moi l'idée de vouloir affoler ma mère en lui expliquant que j'avais peut-être l'appendicite, c'est pourtant ce que j'ai fait en lui promettant tout de même, que je l'appellerai quand j'aurais plus d'info sur ma condition physique. Bien sûr je ne savais pas alors que les médecins allaient me garder toute la sainte journée, laissant ma mère dans un bain d'angoisse de maman qui a sa fille peut-être très malade à l'autre bout de la planète. Dans un pays dit très dangereux et violent.
Après avoir appelé un responsable de Nataté pour nous conduire jusqu'à un hôpital, j'ai pu entrevoir le système de santé mexicain. A dire comme ça, avec un estomac qui joue les bi-polaires ça peut faire peur mais j'ai été confronté à une façon de faire à laquelle je ne m'attendais pas du tout.
D'abord partis dans une clinique médicale pour femmes enceintes et enfants, on s'est vite fait rejetés pour un dispensaire nommé Hospital de las Culturas. Au début j'avoue m'être posé la question mais quelles genres de cultures font-ils dans cet hopital? La réponse est assez simple: le Chiapas et San Cristobal en particulier sont des lieux où les indigènes et les autres populations ont connus des grands moments historiques...et culturels.
Arrivés dans la salle d'attente Alex, Agustin et moi on nous a dit qu'il nous fallait attendre au moins une heure car il y a changement de garde et que ça prend du temps. Bon, entendu, j'allais juste devoir me taper l'affiche une heure de plus dans une salle d'attente remplie d'indigènes qui nous regardaient curieusement blanches que nous sommes Alex et moi. Et qui semblaient aussi très intrigués par cet énorme seau, dédié à recueillir mon vomis, que je portais sans cesse avec moi.
Au bout d'une bonne heure et après avoir découvert que le centre historique de Mexico était en flammes grâce aux infos du matin de la télé de la salle d'attente, on nous fait rentrer dans un cabinet. Wow, c'est encore mieux que la Salpêtrière niveau réception des malades! D'habitide, on nous fait attendre deux bonnes heures en France. alors au Mexique je me suis dit, mais qu'est-ce que ça va être?! J'ai été surprise de voir avec quelle vitesse j'ai été reçue. Sauf qu'il y avait une chose à laquelle je n'avais pas pensé vu mon état du moment. La raison pour laquelle je suis passé si vite c'est que je suis blanche, et la plupart des médecins n'étaient pas contre une palpation du ventre d' une belle européenne. Pas un seul instant je me suis retrouvé dépourvue de mon armada de 5 docteurs et de mes 3 infirmiers toujours là pour me masser, me donner des couvertures (parce qu'il faisait très froid et que je portais alors une de ces belles blouses vertes ouvertes sur le derrière. Heureusement que j'ai pu garder ma culotte! C'est à croire qu'ils n'avaient rien d'autre à faire ces docteurs à part venir me voir toutes les 5 minutes faire semblant de consulter ma fiche médicale pour en faite me dire: vous être de quel pays? Vous avez quel age? Ahhh et qu'est-ce qui vous amène par ici? … Un des infirmiers de mon harem m'a même donné son numéro et m'a invité à déjeuner pour le lendemain. Déjeuner qui s'est plutôt bien passé, en compagnie d'un autre infirmier de l'hôpital et d'une de mes amies volontaires française Vanessa. Le bonhomme en question s'appelle Isauro. Un beau mexicain, plutôt grand pour sa nationalité. De culture très mexicaine il n'a pas arrêté de me draguer ouvertement. Je ne sais pas trop ce qu'il se passe dans sa tête car ses yeux décrivent soient une admiration totale tel un catholique devant la Sainte Vierge, un scientifique rencontrant une forme de vie extraterrestre intelligente ou un peintre devant une créature nouvelle au corps magnifique et à la grâce majestueusement. Ou alors il me faisait le numéro du grand romantique mais dont les neurones sont tous entrain de squatter l'étage caleçon. J'ai dû mettre le hola parce que des fois ça dépassait un peu les bornes des limites. Mais ma chère amie Magdalena Ocana d'origine équatorienne m'a rassurée quant aux attentions de ce jeune homme qui n'est pas un de ses gros lourdos de Montreuil au discours répétitif du « hé mad'moisel', vas-y t'as pas un zéro six? » malgré son côté très … collant. On se reverra peut-être dans un ciné ou autour d'un verre dès que je me sens mieux. Il est revenu me voir le lendemain mais étant trop malade on est resté à la maison. Il m'a offert une rose parce que, c'est lui qu'il l'a dit, je ressemble à une rose...
Au final, je suis sortie de l'hôpital avec une infection des voies urinaires carabiné. Un truc qui commençait à me remonter aux reins, expliquant ma douleur dans le bas du dos. Je pense m'être attrapé en même temps une crève ou une petite grippe car depuis hier j'ai des migraines, un sinusite certaine, et peut-être de la fièvre car des courbatures dans la nuque. Donc en plus de mes antibiotiques je me shoot maintenant à l'ibuprofène et au paracétamol. Quel cocktail! C'est à croire que je suis maudite. Je ne suis jamais malade en France et il faut que je sois dans un pays que je ne connais pas pour enchainer les crasses. J'avoue que mon état de santé me déprime un peu. Je ne sors que très peu et me fatigue tellement vite. J'ai hâte d'être rétablie et de recommencer à travailler.

Le travail, parlons-en! J'ai changé de projet. Je ne suis plus à Tzajala maintenant mais à San Cristobal. Je travaille maintenant comme intervenante du planning familial mexicain dans les écoles du coin pour causer MST et grossesses non désirées chez les adolescentes. Je n'y ai travaillé que deux jours puisque je suis malade. J'ai tout de même appris bien des choses en deux jours. Le planning familial donne une représentation de la culture, de la richesse et du développement économique d'un pays je trouve. J'ai pu entrvoir les méfaits d'un pays sexiste aux mœurs catholiques fanatiques. Un truc qui vous dégoute de la religion vite fait bien fait. Il y a par exemple un manque crucial de connaissances quand aux méthodes de contraceptions existantes. Certaines femmes indigènes arrivent plus ou moins à gérer leur nombre de grossesses en contant avec un calendrier les jours de leurs règles. Bien sûr, si leur maris apprennent cela, elles se font battre car, c'est bien connu, elles porteront tous les enfants que Dieu voudra. S'efforcer à ne pas tomber enceinte reviendrait à déjouer les plans du tout puissant. Ce mode de penser me rappelle les discours moyenâgeux de certains de mes camarades de fac à la Catho et de certains attardés mentaux qui ont oublié de penser qui trainent la contraception dans la boue car nos méthodes seraient celles de l'antéchrist parait-il. Je suppose que ces derniers ne voient pas les femmes de 18 ans qui ont déjà 5 ou 6 enfants, un corps ruiné par les grossesses et des problèmes de santé graves car, comme le veut la Bible « c'est ainsi que Dieu le veut ». Je reconnais que faire face à ses problèmes à cause d'un barbu en toge qui bronze sur son nuage me donne un peu de difficulté à apprécier les plus religieux. C'est à croire que les mots chrétien, catholique et pratiquants ne veulent plus rien dire aujourd'hui car tous ceux qui se proclament ainsi ont tous des idées et des façon de penser radicalement différentes. Autant mettre le Sergent Heartman et John Lennon dans une même salle et dire qu'ils appartiennent au même groupe de philosophes. Heureusement, il existe certains bon ambassadeurs de leur religion (catholique ou autres) qui ne sont pas en complète dévolution si le mot existe.
L'avortement n'est pas légal au Mexique, il est seulement légal à Mexico et peut couter jusqu'à dans les 3000 pesos. C'est dire, c'est pas la classe populaire qui en bénéficie le plus. C'est pourtant celle qui en a le plus besoin. Je sais pourtant que dans les centres payant ils pratiquent jusqu'à 50 avortements par jour. Qu'est-ce que ça doit être dans les dispensaires gratuits? Enfin, je pense pour ma part que tous, hommes et femmes (mais surtout les hommes) riches et pauvres ont besoin d'une instruction sur ce sujet. Les riches eux se pensent à l'abri des IST car, voyons les choses en face, ils sont riches. Ce genre de maladies, ce sont les pauvres qui les attrapent. Ce que je vous dit là sont des faits, une réalité d'un monde où tous ferment les yeux au nom de principes dits « anciens ». Alors j'avance avec un nouveau principe, surement très ancien lui aussi mais avec lequel on ne balance pas des arguments arrogants car « culturels et traditionnels » dépourvus de logique et de bon sens humain. J'avance en me disant: « Refuse les yeux ouvertes ce que d'autres acceptent les yeux fermés ». Car les besoin et les difficultés sont d'une réalité et d'une véracité frappante. Comment peut-on les contourner au nom d'un dieu supposé n'être qu'amour? Moi je crois à l'amour. Mais je crois d'abord en moi et en mes frères et sœurs d'autres nations. Je crois en leur bonheur et en leur épanouissement possible dans un monde meilleur. Et même si cela doit passer par des mesures qui peuvent être perçues comme contradictoires tel que l'avortement et le contrôle des naissances. Je pense que nous sommes arrivés à un niveau de l'évolution de l'humanité suffisamment élevé pour y voir maintenant un peu plus claire et savoir ce qu'on veut vraiment pour que ce monde soit digne de nous et de nos enfants.
Assez de mes découvertes sur la race humaine, sa façon de penser et des mes interprétations philosophiques. Passons à des choses plus sérieuses.

Le weekend dernier je suis allé à la plage: la Boca del Cielo (la bouche du ciel). Un lieu paradisiaque comme vous pouvez le voir sur les photos. J'ai vu l'océan Pacifique pour la première fois. J'y suis allé avec Alex, Vanessa et Laura, mon groupe de copines de toujours. Après 5 à 6 h de voyage de camionnettes en autobus nous sommes enfin arrivées à la Boca. On a crèché sur une presqu'île recouverte de palmiers et de cabanons à la toiture en pousse de bambous et de bananiers. Pas de parquet, rien que du sable partout même dans les chambres. Pas de douches, seulement une grosse bassine dans laquelle il y a de l'eau avec laquelle on se recouvre sur le corps. Il faisait entre 30 et 35C° donc pas de panique, on avait pas froid! La mer était elle même délicieuse. Quoi que remplie de petites créatures transparentes au au coeur noir comme un œil de calamar. J'ai pensé d'abord que c'en était des petits. Me refusant obstinément à penser que ça pouvait aussi être des méduses malgré les dires de mes amies. Car pour ceux qui l'ignorent, certains on peur des serpents, des rats et des souris, moi j'ai une peur panique des méduses. Une peur irraisonnée et illogique depuis un très mauvais épisode de Alerte à Malibu.
On a passé une journée de bronzage et baignade très agréable. Tout cela sous l'œil séducteur d'un magnifique indigène totalement inconnu que nous avons décidé de dénommé Juan. Le visage viril mais fin, un beau corps et une belle peau bronzée. L'endroit idéal avec le bonhomme idéal pour faire les pinups sur une plage quasi déserte du Pacifique à côté de nos palmiers et nos cabanettes en bambou.
Même la cuisine était du coin. Poisson pêché du matin par le mari de la patronne de l'auberge. Avec des tortillas et des crevettes, pareillement pêchées du matin. Cependant, bien que l'endroit soit un paradis, on s'y ennui vite par son manque totale d'activités en dehors de la baignade et du bronzage. Ça manque d'internet, de gens (parce qu'il n'y avait presque personne) de fêtes ou de télévision. L'autre activité beaucoup pratiquée par moi même qui ne suis pas très adepte des grosses chaleurs était le hamac. Là je reconnais que j'ai bien aimé et que j'y ai passé plusieurs heures à méditer sur le vie, les gens, la nature. En regardant tous les éléments autour de moi, je ne pouvais que conformer cette idée qui me trotte dans la tête depuis près d'un mois et demi: il n'est pas surprenant que les indigènes avant d'avoir été forcé au catholicismes vénéraient la nature tellement celle-ci est belle et abondante. Je commence moi même à ressentir cette vérénation bien que cet état d'esprit était déjà en moi avant. Mais je suis chaque fois un peu plus impressionnée par la grandeur, la beauté et la force de la nature. Comme si Terre-Mère avait chaque jour un peu plus à m'offrir. On ne peut jamais se lasser de son spectacle continuel de la vie végétale et animale. Cela me rappelle une réflexion, pas sans manque de sens de mon ami Fidencio, le danseur prince des Mayas. Étant lui même catholique, il m'a dit que Jésus étant né dans un désert ou tout le monde manquait de tout, il était normal qu'il en soit revenu avec des lois telle que ne pas voler ton prochain. Car en Amérique, la Terre est tellement riche que peu importe ce qu'on te vole, tu en retrouveras un autre à tes pieds.

Il me semble approprier de vous faire part maintenant de mes fréquentations à Nataté. Comme je l'ai dit plus tôt, je suis souvent en compagnie de 3 autres filles. Deux françaises (Vanessa et Alex) et une Belge (Laura: la blonde). On fait ensemble une joyeuse bande de copines et ça fait plaisir d'avoir des gens sur qui compter.
Vanessa est je dirais, la plus douce et calme du groupe. C'est certainement ce qui me plait le plus chez elle. Elle a un côté grande sœur aimante sans pour autant dominante et protectrice. On dirait presque un ange.
Laura, (la blonde) est la plus drôle du groupe par ses expressions bien de chez elle et son accent belge. Je ne peux m'empêcher de rire quand avec une expression d'indignation elle nous lâche un « m'enfin! » à tout bout de champs et pour n'importe quoi; telle une princesse à qui on aurait demandé de monter les 3 marches à l'entrée de son palais parce que ses porteurs seraient trop fatigués.
Alexandra, enfin, que je ne remerciai jamais assez d'avoir passé la nuit à mes côtés lorsque j'étais malade. D'avoir chercher à appeler toute sa famille pour contacter son grand-père. Qui m'a attendu toute la journée ou presque dans l'inconfortable salle d'attente de l'hôpital. Je crois que sa fidélité en tant qu'amie n'est plus à démontrer.
Toutes sont exceptionnelles à leur façon et profondément touchantes. Je profite de chaque instant passés avec elles me disant qu'un jour ces moments ne seront plus.
Je serai bien triste quand elles partiront car ces demoiselles ne restent pas une année comme moi mais quelques mois. Je devrai me trouver un autre groupe de copines alors. Si ça se trouve je serais à Playa de Carmen à ce moment là et devrais de toute façon de trouver des nouveaux amis.
Je garderai de très bon moments et des souvenirs de fous avec elles. Comme là fois où, n'ayant pas penser au trajet à pied entre le supermarché et la maison, nous avons été dans l'obligation de voler un chariot au Chedraui (le carrefour mexicain) pour renter avec nos 50 kilos de provisions. Vu l'état désastreux des trottoirs et des routes de an Cristobal, imaginez-vous la scènes de trois blanches parmi les indigènes transportant un caddie remplie de nourriture et shampoing en tout genre à porter le chariot en grande partie dû à l'état laborieux de la route. Nous avons d’ailleurs fini par abandonner le caddie car les trottoirs étaient absolument inaccessibles.

J'ai déjà mentionné l'idée de partir à Playa del Carmen. C'est une ville touristique près de Cancun. J'ai dans l'idée d'y aller pour me trouver un travail et un appartement. J'aime ma vie à San Cristobal, mais je travaille gratuitement pour devoir payer un loyer et ma nourriture. Certes j'apprends l'espagnol et la culture. Mais j'ai parfois comme le sentiment de me faire voler. D'autant plus que j'ai également un beau prince Maya qui vit là-bas. Alors, je ne vais pas cracher là-dessus.

Un autre petit quelque chose dont je voulais causer. Sur les routes du Mexique, dû au manque total de sécurité, personne ne porte la ceinture, j'ai même vu un accident assez impressionnant d'un camion citerne. Les phrases rappelant à la sécurité m'ont cependant touché. J'en ai vu deux en particulier qui m'ont marqué, le premier: « Conduis prudemment, ta famille t'attend » et mon préféré: « Une heure de retard vaut mieux qu'une minute de silence ». C'est qu'ils sont du genre poétiques les mexicains.

Je pense avoir écrit mon compte de nouvelles aventures pour la semaine. Je suis pour le moment très malade. Infection urinaire, petite gastro passagère, bonne grippe (diagnostique fait par moi même dû à mes maux de tête, petite fièvre et contractions musculaires dans le cou) et pour couronné le tout, sinusite histoire d'amplifier les maux de tête avec nez qui coule. Sur ceux bon appétit bien sûr. Et à la semaine prochaine!

3 commentaires:

  1. C'est vrai que c'est passionnant de suivre ton périple et tes aventures, ça donne envie de prendre son sac à dos et de partir... Partir un jour, partir quand même, partir à la renverse...Remets-toi bien de tes ennuis médicaux, Pétronille, et bonne route vers Playa del Carmen ! ;0)

    (Pétronille, quel prénom réjouissant tout de même ! On dirait le nom d'un fruit exotique ou bien d'une fleur de paradis... Bravo Agnès ! ;0)... Signé David, un ami montreuillois de ta maman...

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  2. Ah rétablis toi vite ma belle et surtout profites bien. Ce que j'aimerais être avec toi, je suis sur qu'on vivrait l'aventure à 200%...
    Tu me manques, Gros Bisous!

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  3. Aie aie aie! Ca c'est du pavé!
    J'ai du le lire en plusieurs fois tellement c'etait long!
    Mais bon c'est toujours cool donc c'est pas trop relou!
    En tout cas soigne toi bien cocotte et mets plus de photos. C'est sympa.

    Bro.

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